À bord

Des facettes qu’on retrouve à l’intérieur… heureusement ça se limite aux extrémités des commodos. Ouf ! Si l’extérieur peut faire débat, l’intérieur également 100% nouveau devrait faire l’unanimité. Une vraie réussite bien qu’un poil triste dans cette version « noir sur noir réhaussé de touches de noir ». À défaut de gaieté, une sellerie gris clair forcément plus fragile peut apporter un peu de contraste. Derrière le joli volant se trouve un nouveau combiné d’instrumentation 100% numérique bien intégré à la planche de bord, dont les lignes des aérateurs à flux d’air indirects se poursuivent élégamment sur les portes. Au centre, un grand écran 10,25” domine une zone où Hyundai a conservé des commandes dédiées au volume ou à la clim (on aime) mais tout est tactile (on aime moins).

Autre point négatif (bien que très subjectif) la nouvelle interface de l’infotainment utilise des icônes façons smartphone mais au design brouillon et pas très intuitif. En revanche, en plus de la compatibilité Apple CarPlay et Android Auto, Hyundai se sert du format très horizontal de son écran pour afficher à la fois votre smartphone et conserver une zone où afficher des infos de la voiture. Entre les sièges en cuir perforé de notre version Executive trône une imposante console centrale qui regroupe les commandes de boîte, quelques autres boutons comme les commandes des sièges chauffants/ventilés ou les aides au stationnement et deux grands espaces de rangements. L’arrière offre également un bon espace mais c’est dans le coffre que le Tucson a le plus progressé. Il a gagné 156l et peut atteindre 616l en fonction des motorisations. À noter que celle offrant le maximum d’espace est la version hybride…

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