Vous cherchez comment occuper la fin de votre vendredi après-midi ? Voici une solution : Ferrari a mis en ligne le configurateur de sa nouvelle F80. Et si les possibilités restent encore limitées, il y en a déjà bien assez pour se défouler sur la très clivante hypercar hybride de Maranello.
Vous commencerez par choisir entre les couleurs « standard », « historiques, « classiques », « spéciales » ou mates. Vous serez libre de compléter cette livrée par un numéro sur la portière, voire les deux portières, ainsi que le capot. Et/ou par une bande (mono- ou bicolore), qui court de la lame avant jusqu’à l’aileron arrière, sans toutefois empiéter sur le masque et la cabine qui restent systématiquement noirs.
On passe ensuite aux jantes : noires ou argentées, en métal ou en fibre de carbone, avec un cheval cabré sur fond jaune ou noir sur le cache-moyeu. Puis aux étriers de frein, disponible en pas moins de neuf couleurs.
Vient l’étape incontournable de la fibre de carbone, qui peut bien sûr habiller le moindre appendice ou certains panneaux comme le toit, le capot avant ou le capot moteur. À moins de cocher directement « carrosserie entièrement en fibre de carbone » si vous aimez le look Batmobile, puisque vous renoncez alors à tout choix de couleur avec une F80 100 % carbone brut. L’occasion de remarquer que les couleurs très sombres permettront de fondre le masque, les paupières et le toit noir dans le reste de la carrosserie, et peut-être ainsi au dessin de Flavio Manzoni de trouver grâce aux yeux des tifosi les plus chafouins.
On ne va pas commencer à détailler le cockpit, où vous pouvez configurer individuellement la couleur du moindre cm2 d’Alcantara ou de chaque brin des surpiqûres. Vous pourrez en profiter pour choisir d’ajouter un écran passager, au cas où celui-ci s’ennuierait en votre compagnie et en celle d’un V6 de 900 ch.
Après, ne restera plus qu’à passer commande… Ah non, on nous dit dans l’oreillette que les 799 exemplaires ont déjà tous trouvé preneur malgré le tarif de 3,6 millions d’euros pièce. Oups.
