Mercedes : le guide du débutant
La marque à l'Etoile en long et en large
Et le pire moment ?
Les images d’un moustachu énervé défilant dans de grands cabriolets Mercedes quatre portes ne constituent sans doute pas le meilleur souvenir de la marque. Mais bon, si on touchait un centime à chaque fois qu’un potentat s’achète une voiture de luxe, il y a longtemps qu’on aurait fait pareil. Et le fait que cette clientèle de connaisseurs ait depuis toujours un faible pour la Classe S tend à justifier la réputation de confort, de luxe et de fiabilité des autos à l’Etoile.
Mercedes est aussi la raison pour laquelle le sport automobile reste interdit en Suisse à ce jour. C’est le cas depuis l’horrible accident de Pierre Levegh aux 24 Heures du Mans 1955, lors desquelles sa Mercedes 300 SLR a décollé sur une autre voiture et fauché 83 personnes dans le public. Ce drame aurait pu arriver à n’importe quel autre constructeur : ce sont les conditions de sécurité dans les courses d’après-guerre qu’il faut blâmer, pas Mercedes.
Sur un plan plus industriel, citons une période noire à la fin des années 1990 et au début des années 2000, durant laquelle la marque a poussé trop loin les économies au détriment de la qualité et de la fiabilité. Mais elle a redressé la barre en capitalisant sur son image en béton armé.
<< Précédent La suite >>
En savoir plus à ce sujet :
Top Gear
Newsletter
Recevez les dernières news, tops et exclusivités sur votre adresse e-mail.