On dirait que l’Hypercar Ferrari du Mans aura un ÉNORME aileron arrière
L’Hypercar Ferrari qui sera au départ des 24 Heures du Mans 2023 ne suivra pas l’exemple de la Peugeot 9X8
Le mois dernier, Ferrari nous a offert un premier aperçu de sa nouvelle Hypercar du Mans. Manque de bol, personne n’avait pensé à allumer les lumières dans le studio photo. À moins qu’il n’y ait eu un problème d’impayé chez EDF… Du coup, on pouvait tout juste voir la signature lumineuse et un filet de rouge du bouclier avant.
Mais rassurez-vous, Ferrari vient d’annoncer fièrement avoir « dévoilé le prototype qui sera utilisé dans la catégorie reine du Championnat du Monde d’Endurance FIA à partir de 2023 ». Petit souci, cette fois, le photographe n’a pas eu le droit d’accéder au studio. Il a donc dû photographier la voiture (camouflée) à travers une vitre, de loin. Et il y avait encore des problèmes d’éclairage… Décidément, le sort s’acharne ! À croire que le type en charge de la com autour de cette Hypercar est aussi celui qui gère la stratégie de course en F1 cette saison…
Mais avec le peu que l’on devine, on peut déjà vous dire que Ferrari n’est pas du tout de l’avis de Peugeot et de sa 9X8 au sujet de l’aileron arrière. La Ferrari qui s’alignera aux 24 Heures du Mans 2024 aura un aileron GIGANTESQUE.
« C’est un moment très excitant, attendu avec impatience tant par les personnes qui ont travaillé sur ce projet que par les fans de Ferrari », a déclaré le patron du projet, Antonello Coletta.
Pouvoir enfin toucher le résultat de plusieurs mois de travail, de planification et de simulations nous donne une nouvelle énergie et encore plus de motivation. Nous sommes fiers de ce que nous avons accompli, et bien que le camouflage du LMH lors des essais masque les volumes et le style de la voiture, je pense qu’elle est indéniablement reconnaissable en tant que Ferrari.
Bon, ça aurait été plus évident si le gars de la com avait retrouvé la clef du studio mais il devait être en pleine préparation du Grand Prix d’Autriche de ce week-end. Sur les cinq derniers Grand Prix, Charles a eu droit dans l’ordre à un abandon sur panne à Barcelone, un passage aux stands pour rien à Monaco, un départ en fond de grille au Canada, un autre abandon sur panne à Bakou et un « choix tactique » pour le moins hasardeux qui l’a laissé en piste avec des pneus en fin de vie alors qu’il était en tête au lieu de lui faire profiter de la présence du safety-car pour en changer sans le moindre risque de perte de temps… comme son coéquipier.
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