09 / La plus extrême des GT-R n’en est pas vraiment une

Réglementation oblige, la R35 qui court dans la catégorie GT500 du championnat japonais Super GT n’a ni moteur V6, ni transmission intégrale. Elle utilise à la place le moteur spécifique de la discipline : un quatre cylindres turbo de deux litres à injection directe, développant 659 chevaux et 700 Nm. Le châssis et la carrosserie en fibre de carbone n’ont plus rien de commun eux non plus avec la GT-R classique. Sans parler de l’arsenal aérodynamique… Il existe en GT500 une ligne « imaginaire » que l’on trace sur la hauteur de chaque voiture. Tout doit rester plus ou moins normal au-dessus, mais en-dessous les ingénieurs peuvent s’en donner à cœur joie. Ailettes, diffuseurs, prises d’air… le résultat est pour le moins extrême. La seule chose de GT-R qui lui reste, c’est le badge !