Neuf choses apprises au volant de la nouvelle BMW Série 1 traction
Plus spacieuse, plus sûre, pas de L6 mais peut-être une hybride : le débrief de notre essai
1. La plupart des propriétaires de Série 1 ne savent pas que c’était une propulsion
« Nous devons arriver avec une voiture compétitive et nous souhaiterions idéalement qu’elle offre plus de place à bord sans trop changer de silhouette », explique Peter Langen, en charge de la dynamique de conduite chez BMW. « Il nous faut donc passer à la traction. »
BMW a donc mis en pratique le savoir-faire accumulé sur les Mini, les Active et Gran Tourer ainsi que les X1 et X2 pour concocter ce qu’elle annonce être la nouvelle référence du segment en comportement routier, n’en déplaise aux puristes.
« Nous avons parlé de passer à la traction dès 2013, ajoute Holger Stauch, chef de projet Série 1. Nous avons beaucoup réfléchi aux attentes de nos clients, et nous pensons que ce choix nous ouvrira de nouveaux débouchés. La plupart des propriétaires ne font de toute façon pas la différence entre traction et propulsion. »
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