Neuf choses apprises au volant de la nouvelle BMW Série 1 traction
Plus spacieuse, plus sûre, pas de L6 mais peut-être une hybride : le débrief de notre essai
3. Donc pour le drift, il y a un (petit) espoir
Alléluia, notre premier galop d’essai au volant de trois prototypes de la Série 1 (finalisés à 90 %) confirme que c’est une voiture extrêmement plaisante à conduire, que ce soit en en 118i (140 ch essence), 120d (190 ch Diesel) ou M135i (306 ch essence).
La 118i est une pure traction mais nos premières impressions (sur une route de montagne exigeante) sont celles d’une auto au moins aussi agile que ses meilleures rivales, Focus ou 308. À ceci près que si vous cochez la suspension sport, vous n’échapperez pas à la traditionnelle rigueur germanique.
Avec nettement plus de couple mais quatre roues motrices, la 120d s’est également montrée aussi tranchante qu’on pouvait l’espérer. Même si on a fait mieux comme auto passion, on s’amuse déjà bien sur la route ad hoc.
Si vous voulez vous amuser, alors la M135i s’impose. BMW est revenue à l’ancienne nomenclature parce que le « 40 » de la Série 1 actuelle est l’apanage des six-cylindres. Pour la première fois, la plus performante des Série 1 est animée par un quatre-cylindres turbo aux specs copiées-collées sur les Volkswagen Golf R et Mercedes A35. Et même si les 306 ch et 450 nm ne sont jamais à plus de 50 % sur l’arrière, celui-ci reste mobile sur circuit. Il faudra juste ruser un peu, et oublier toute velléité de déraper à l’accélérateur comme c’était jusqu’à présent la tradition sur une BMW M.
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