TOP 9 : les voitures dérivées de la Lotus Elise

En 25 ans de carrière, l'Elise a donné naissance à une ribambelle de voitures de sport. Dont certaines que vous avez forcément oubliées... On refait le point

La rédaction
Publié le : 12 mars 2021

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Opel Speedster

Imaginez si Kia annonçait qu’il allait rebadger une McLaren Artura et la vendre avec une garantie de sept ans moyennant le coût d’entretien d’une Picanto. C’est à peu près l’impression donnée par le lancement de l’Opel Speedster en 2000.

Opel cherche alors à introduire un peu de fun dans une gamme déprimante tandis que Lotus, comme toujours, a besoin d’argent pour donner une descendance à la sublime mais déjà vieillissante Elise S1.

General Motors, la maison mère d’Opel, propose de financer le développement de la nouvelle Lotus à condition de pouvoir récupérer le résultat, lui coller une nouvelle carrosserie signée Opel/Vauxhall, et ainsi ajouter une vraie voiture de sport à son catalogue en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Zafira OPC. »

Avec son gros 2.2 d’Astra sans charme mais bourré de couple (Lotus se servait quant à lui chez Rover et Toyota) et ses quelques concessions au confort et la sécurité (un airbag conducteur et un ABS, le luxe), le Speedster n’était pas tout à fait aussi léger que l’Elise. Mais il était un peu plus polyvalent, et à peu près aussi joli. En 2003, sa version turbo (2.0 220 ch) sera la voiture de l’année Top Gear, parce qu’à l’époque on savait déjà reconnaître les bonnes choses quand on en voyait.

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